Il s'agit d'un modèle élaboré à la fin des années 80 par un petit groupe de chercheurs, anthropologues et thérapeutes à Palo Alto en Californie.
Le principe de ce type de thérapie consiste à opérer un travail sur le présent de la personne, contrairement aux thérapies classiques. C'est-à-dire que, sans négliger le passé de l'individu qui apparaît comme le creuset de son identité présente, son vécu actuel ainsi que l'environnement dans lequel il évolue constituent la matière sur laquelle s'effectue l'analyse de la situation qui "pose problème ".
Ainsi l'individu n'est plus envisagé comme un être isolé mais comme appartenant à un système dont les interactions relationnelles le maintiennent inéluctablement dans la situation qui l'a conduit à consulter en dépit de ses tentatives pour le faire cesser.
Ces interactions relationnelles recouvrent notamment les aspects personnels (psychologiques, émotionnels, comportementaux...), les aspects familiaux (éducation, rapports entre les membres de la famille...), et enfin les aspects sociaux / professionnels (structure de travail, insertion dans la société, niveau de vie...).
Le postulat est que toute tentative pour sortir d'une situation problématique conduit à "faire toujours plus de la même chose", ce qui contribue souvent à renforcer le problème.
L'objectif est d'obtenir rapidement une résolution de ce problème dans un temps le plus court possible.
La personne est une composante active de sa "guérison" dans la mesure où le résultat de la thérapie dépend de son implication.
Il s'agit d'un modèle élaboré à la fin des années 80 par un petit groupe de chercheurs, anthropologues et thérapeutes à Palo Alto en Californie.
Le principe de ce type de thérapie consiste à opérer un travail sur le présent de la personne, contrairement aux thérapies classiques. C'est-à-dire que, sans négliger le passé de l'individu qui apparaît comme le creuset de son identité présente, son vécu actuel ainsi que l'environnement dans lequel il évolue constituent la matière sur laquelle s'effectue l'analyse de la situation qui "pose problème ".
Ainsi l'individu n'est plus envisagé comme un être isolé mais comme appartenant à un système dont les interactions relationnelles le maintiennent inéluctablement dans la situation qui l'a conduit à consulter en dépit de ses tentatives pour le faire cesser.
Le postulat est que toute tentative pour sortir d'une situation problématique conduit à "faire toujours plus de la même chose", ce qui contribue souvent à renforcer le problème.
L'objectif est d'obtenir rapidement une résolution de ce problème dans un temps le plus court possible.
La personne est une composante active de sa "guérison" dans la mesure où le résultat de la thérapie dépend de son implication.